Ce que vous devez retenir
- La division électrique de Mercedes-Benz s’apprête à franchir une nouvelle étape majeure avec le développement final de son SUV électrique GLC, successeur direct de l’actuel EQC.
- On remarque notamment une calandre plus imposante, rappelant celle de la dernière Classe E, ainsi que des poignées de portes affleurantes intégrées dans des galbes latéraux distinctifs.
- Face à une concurrence de plus en plus affûtée dans le segment des SUV électriques premium, Mercedes-Benz mise sur cette nouvelle GLC pour réaffirmer son expertise technologique et son savoir-faire en matière de véhicules haut de gamme.
La division électrique de Mercedes-Benz s’apprête à franchir une nouvelle étape majeure avec le développement final de son SUV électrique GLC, successeur direct de l’actuel EQC. Cette évolution marque un tournant stratégique pour le constructeur allemand dans sa quête de leadership sur le marché des véhicules électriques premium.
Une nouvelle approche technologique
Contrairement à son prédécesseur l’EQC, qui était essentiellement une adaptation électrique d’un modèle thermique, la nouvelle GLC électrique repose sur une plateforme inédite spécifiquement conçue pour les motorisations électriques. Cette architecture de nouvelle génération promet des performances et une efficience énergétique optimisées.
Un design qui marie tradition et modernité
Les premiers aperçus du véhicule révèlent une approche stylistique équilibrée. Si certains éléments futuristes sont bien présents, le design global reste fidèle à l’ADN de la gamme GLC. On remarque notamment une calandre plus imposante, rappelant celle de la dernière Classe E, ainsi que des poignées de portes affleurantes intégrées dans des galbes latéraux distinctifs.
Des évolutions esthétiques notables
Le capot arbore une découpe caractéristique qui renforce la présence du véhicule. Les lignes de caisse présentent un travail sophistiqué autour des poignées escamotables (une petite prouesse technique qui améliore aussi l’aérodynamisme). Le hayon arrière n’est pas en reste avec un traitement spécifique qui souligne le caractère premium du véhicule.
Une nouvelle stratégie de dénomination
Mercedes-Benz fait évoluer sa nomenclature : fini le préfixe EQ qui distinguait jusqu’à présent les modèles électriques. La nouvelle GLC électrique s’inscrit dans cette logique, à l’image de la G-Class électrique qui adopte la mention « avec technologie EQ » plutôt que l’appellation EQG.
Des ambitions techniques revues à la hausse
La marque à l’étoile n’a pas encore dévoilé les spécifications techniques précises, mais les rumeurs évoquent des performances significativement supérieures à celles de l’EQC actuel. L’autonomie devrait dépasser les 500 kilomètres en cycle WLTP, tandis que la puissance pourrait atteindre jusqu’à 400 kW (544 ch) pour les versions les plus performantes.
Les ingénieurs ont particulièrement travaillé sur l’optimisation de la charge rapide, avec des temps de recharge sensiblement réduits grâce à une architecture électrique 800V. (Un point crucial pour les longs trajets, comme j’ai pu le constater lors de mes essais d’autres véhicules électriques premium.)
Un intérieur repensé
L’habitacle fait la part belle au numérique avec une instrumentation entièrement digitale et un système multimédia dernière génération. La planche de bord adopte un design épuré, ponctué de matériaux nobles et d’éclairages d’ambiance personnalisables.
L’espace à bord promet d’être généreux, la nouvelle plateforme permettant une meilleure exploitation du volume intérieur. Le coffre devrait offrir une capacité supérieure à 500 litres, un argument de poids pour les familles.
La commercialisation est prévue pour fin 2024, avec des prix qui devraient débuter aux alentours de 75 000 € en France. Face à une concurrence de plus en plus affûtée dans le segment des SUV électriques premium, Mercedes-Benz mise sur cette nouvelle GLC pour réaffirmer son expertise technologique et son savoir-faire en matière de véhicules haut de gamme.