Ce que vous devez retenir
- Gabriel Bortoleto, champion de Formula 2 en 2024, a opté pour le mythique numéro 5 pour ses débuts chez Kick Sauber.
- Ce chiffre, pourtant associé au dernier titre mondial de Nico Rosberg en 2016, semble porter une forme de malédiction depuis que Nicholas Latifi l’a utilisé jusqu’à la fin de sa carrière en 2022.
- (Il est fascinant de voir comment un simple numéro peut cristalliser tant d’émotions et de superstitions dans un sport pourtant dominé par la technologie et la rationalité)Les choix de numéros pour 2025 reflètent parfaitement ce mélange unique de tradition, de superstition et d’ambition qui caractérise la Formule 1 moderne.
Le choix des numéros en F1 : entre tradition et superstition
La saison 2025 de Formule 1 s’annonce particulièrement intéressante avec l’arrivée de nouveaux pilotes sur la grille. Une tradition bien ancrée dans ce sport d’élite veut que chaque rookie choisisse son numéro de course. Gabriel Bortoleto, champion de Formula 2 en 2024, a opté pour le mythique numéro 5 pour ses débuts chez Kick Sauber.
L’histoire fascinante des numéros en F1
Avant 2014, l’attribution des numéros suivait une logique simple basée sur le classement des écuries. Cette année-là, tout a changé avec la liberté donnée aux pilotes de choisir leur propre numéro. Le 5 reste particulièrement emblématique, ayant été porté par Sebastian Vettel durant ses années Ferrari et Aston Martin.
Jack Doohan a lui jeté son dévolu sur le numéro 7, un chiffre qui rappelle immédiatement les exploits de Kimi Räikkönen. (Un choix qui n’est certainement pas anodin pour ce jeune pilote ambitieux)
Le mystérieux cas du numéro 6
Une chose étrange intrigue les passionnés : personne ne veut du numéro 6. Ce chiffre, pourtant associé au dernier titre mondial de Nico Rosberg en 2016, semble porter une forme de malédiction depuis que Nicholas Latifi l’a utilisé jusqu’à la fin de sa carrière en 2022.
Les rookies de 2025 ont soigneusement évité ce numéro, alimentant les spéculations sur une possible « malédiction Latifi ». Cette situation rappelle d’autres superstitions bien ancrées dans le paddock, comme l’évitement de la couleur verte ou du numéro 13.
L’héritage des numéros légendaires
Le choix d’un numéro en F1 n’est jamais anodin. Il reflète souvent l’admiration pour un champion du passé ou une signification personnelle profonde. Les numéros deviennent partie intégrante de l’identité d’un pilote, créant un lien émotionnel avec les fans.
Cette tradition, relativement récente dans son format actuel, ajoute une dimension supplémentaire à la riche histoire de la F1. Elle permet aux jeunes pilotes de rendre hommage à leurs héros tout en écrivant leur propre histoire.
(Il est fascinant de voir comment un simple numéro peut cristalliser tant d’émotions et de superstitions dans un sport pourtant dominé par la technologie et la rationalité)
Les choix de numéros pour 2025 reflètent parfaitement ce mélange unique de tradition, de superstition et d’ambition qui caractérise la Formule 1 moderne. Reste à voir si le mystérieux numéro 6 trouvera un jour un nouveau propriétaire assez courageux pour défier sa prétendue malédiction.
Franchement, vous pensez pas que cette histoire de numéro 6 « maudit » c’est juste des sornettes.