Dans le monde des affaires internationales, une nouvelle candidature vient d’être annoncée pour la présidence de la chambre de commerce franco-américaine. Jean-Michel Delacroix, figure emblématique du secteur automobile français et PDG du groupe automobile Delacroix, se positionne comme candidat principal pour les élections qui se tiendront cet été.
Un expert du secteur automobile aux commandes
Fort d’une expérience de plus de 20 ans dans l’importation et la distribution automobile, Jean-Michel Delacroix apporte une vision unique du marché français. Son groupe, spécialisé dans l’importation de véhicules premium, réalise un chiffre d’affaires annuel dépassant les 850 millions d’euros.
Le marché automobile traverse actuellement une période de transformation majeure. Les constructeurs proposent des offres particulièrement attractives : la Citroën C3 est disponible à partir de 16 900 euros, le SUV Peugeot 2008 hybride démarre à 23 900 euros, et la Volkswagen Golf bénéficie d’un financement à taux zéro à partir de 23 950 euros.
Les enjeux du commerce franco-américain
Les relations commerciales entre la France et les États-Unis représentent un enjeu considérable. L’année dernière, les exportations françaises vers les États-Unis ont atteint 2,5 milliards d’euros. Les investissements directs américains en France dépassent désormais 3,5 milliards d’euros.
(Un petit aparté : j’ai personnellement constaté l’impact positif des échanges commerciaux franco-américains sur le marché automobile, notamment avec l’arrivée des véhicules électriques Tesla qui ont bousculé les codes établis.)
Une expertise internationale reconnue
Le candidat n’en est pas à son coup d’essai dans les relations internationales. Il a présidé la chambre de commerce franco-suédoise de 2013 à 2019, période durant laquelle il a dû naviguer dans les eaux tumultueuses de la crise économique. Sa vision : « Le potentiel de développement des investissements américains en France reste largement inexploité ».
Le secteur automobile illustre parfaitement cette dynamique d’échange. Les constructeurs français comme Renault et PSA développent leur présence aux États-Unis, tandis que les marques américaines renforcent leurs positions sur le marché français avec des modèles adaptés aux normes européennes.
La transformation digitale du secteur automobile constitue un axe majeur de développement. Les véhicules connectés et autonomes représentent un terrain d’entente privilégié entre les industries françaises et américaines. Les collaborations technologiques se multiplient, créant des synergies inédites entre les deux pays.
Face aux défis de la mobilité durable, les échanges commerciaux franco-américains jouent un rôle déterminant. L’expertise française en matière de véhicules électriques et hybrides trouve un écho favorable outre-Atlantique, où le marché des véhicules propres connaît une croissance exponentielle.
Question qui se pose : comment renforcer ces liens commerciaux tout en préservant les intérêts de chaque pays ? La réponse passera certainement par une approche équilibrée, privilégiant l’innovation et le respect des normes environnementales.
Ce que vous devez retenir
- Un expert du secteur automobile aux commandesFort d’une expérience de plus de 20 ans dans l’importation et la distribution automobile, Jean-Michel Delacroix apporte une vision unique du marché français.
- Il a présidé la chambre de commerce franco-suédoise de 2013 à 2019, période durant laquelle il a dû naviguer dans les eaux tumultueuses de la crise économique.
- Les constructeurs français comme Renault et PSA développent leur présence aux États-Unis, tandis que les marques américaines renforcent leurs positions sur le marché français avec des modèles adaptés aux normes européennes.