Ce que vous devez retenir
- Pour la saison 2025, les nouveaux pilotes viennent de choisir leurs numéros fétiches, ravivant des souvenirs et créant de nouvelles dynamiques dans le paddock.
- Il fut d’abord le numéro victorieux de Nico Rosberg lors de son sacre mondial en 2016 avec Mercedes, avant de connaître des heures plus sombres avec Nicholas Latifi.
- Après le passage compliqué de Latifi, qui n’a jamais réussi à briller avec ce numéro entre 2020 et 2022, le pilote franco-algérien affiche une confiance rafraîchissante.
Dans le monde fascinant de la Formule 1, les numéros de course racontent souvent des histoires riches en symboles. Pour la saison 2025, les nouveaux pilotes viennent de choisir leurs numéros fétiches, ravivant des souvenirs et créant de nouvelles dynamiques dans le paddock.
Le choix audacieux d’Isack Hadjar
Le jeune espoir français Isack Hadjar, nouveau pilote de la Racing Bulls, a fait un choix qui intrigue les passionnés : le numéro 6. Ce chiffre porte une histoire particulière dans l’histoire récente de la F1. Il fut d’abord le numéro victorieux de Nico Rosberg lors de son sacre mondial en 2016 avec Mercedes, avant de connaître des heures plus sombres avec Nicholas Latifi.
L’héritage des numéros légendaires
Le paddock 2025 voit aussi d’autres rookies s’approprier des numéros chargés d’histoire. Gabriel Bortoleto, champion de Formule 2 2024, a jeté son dévolu sur le numéro 5, autrefois porté avec brio par Sebastian Vettel chez Ferrari puis Aston Martin. Jack Doohan a quant à lui choisi le mythique numéro 7, qui rappelle les exploits de Kimi Räikkönen.
Une nouvelle ère pour le numéro 6
Le choix d’Hadjar est particulièrement intéressant. Après le passage compliqué de Latifi, qui n’a jamais réussi à briller avec ce numéro entre 2020 et 2022, le pilote franco-algérien affiche une confiance rafraîchissante. (Un petit clin d’œil au destin : les numéros ne font pas les champions, mais les champions peuvent transformer la perception d’un numéro).
La symbolique des numéros en F1
Avant 2014, les numéros étaient attribués selon le classement des écuries. La liberté de choix a introduit une dimension personnelle et marketing fascinante. Les pilotes peuvent désormais créer leur propre histoire, leur propre marque, à travers ces chiffres qui ornent leurs monoplaces.
L’évolution des traditions
Le système actuel permet aux pilotes de garder leur numéro jusqu’à deux ans après leur départ, créant parfois des périodes d’attente pour certains numéros convoités. Cette règle ajoute une dimension stratégique au choix des nouveaux arrivants dans la discipline.
La saison 2025 s’annonce passionnante avec ces nouveaux venus qui n’hésitent pas à s’approprier des numéros chargés d’histoire. (Entre nous, il faut une sacrée dose de confiance pour reprendre un numéro associé à des moments difficiles en F1). Reste à voir si ces choix audacieux porteront leurs fruits sur la piste.