Ce que vous devez retenir
- Malgré son discours climato-sceptique et sa politique favorable aux énergies fossiles, Donald Trump ne semble pas freiner la marche en avant des voitures électriques aux États-Unis.
- Ces derniers craignent en effet que la politique protectionniste de Trump ne leur impose de produire davantage sur le sol américain avec toutes les conséquences financières que cela pourrait entraîner.
- Alors que le second mandat de Trump n’a pas encore commencé, l’industrie automobile électrique américaine est déjà en pleine tourmente.
Alors que Donald Trump s’apprête à retrouver la Maison Blanche, l’industrie automobile électrique américaine est en émoi. Malgré les défis, les grandes marques persistent et signent dans leurs ambitions écologiques. Cependant, un grave problème se profile à l’horizon et touche de plein fouet les fournisseurs.
L’électrique sous tension
Malgré son discours climato-sceptique et sa politique favorable aux énergies fossiles, Donald Trump ne semble pas freiner la marche en avant des voitures électriques aux États-Unis. Des géants comme Tesla voient même leurs actions grimper suite à l’élection du milliardaire. Pourtant, l’inquiétude reste palpable dans le secteur.
C’est notamment le cas pour les constructeurs allemands tels que BMW, Audi, Volkswagen et Mercedes. Ces derniers craignent en effet que la politique protectionniste de Trump ne leur impose de produire davantage sur le sol américain avec toutes les conséquences financières que cela pourrait entraîner.
Les marques tiennent bon
Néanmoins, face à ces incertitudes politiques, aucune marque ne semble vouloir renoncer à ses projets d’électrification. En outre :
- Tesla, soutenu par son CEO Elon Musk, continue de dominer le marché du véhicule électrique malgré la menace Trump.
- Les constructeurs allemands, malgré leur inquiétude, ne renoncent pas à leurs ambitions écologiques et technologiques.
Un grave problème émerge
Mais alors que les marques tiennent tête à Trump, un autre problème fait surface : la relation avec les fournisseurs. Ceux-ci, déjà mis à rude épreuve par la crise sanitaire et économique, pourraient pâtir encore plus de l’instabilité politique actuelle. Le risque ? Une hausse des coûts qui pourrait se répercuter sur le prix final des voitures électriques.
Alors que le second mandat de Trump n’a pas encore commencé, l’industrie automobile électrique américaine est déjà en pleine tourmente. Entre menaces politiques et problèmes de fournisseurs, les défis sont nombreux. Mais une chose est sûre : malgré les obstacles, l’ambition écologique des grandes marques n’est pas prête de flancher.
S’il est louable de constater que les géants de l’industrie automobile persistent dans leurs ambitions écologiques malgré un contexte politique difficile, il est dommage que le second mandat de Donald Trump risque de créer plus d’obstacles pour le développement de la voiture électrique.
C’est dingue ce qui se passe là-bas, sérieux.
Ce texte souligne bien les défis auxquels est confrontée l’industrie automobile électrique sous l’administration Trump.
Eh bien les potos, j’vous dis un truc : malgré toutes les embrouilles, la voiture électrique elle décolle et elle compte bien rester en l’air, peu importe qui squatte la Maison Blanche.